Ashwagandha : pour être fort comme un cheval
Découverte de l’ashwagandha avec Jolivia
Aujourd’hui, nous allons parler d’ashwagandha. Il s’agit de l’une des découvertes que j’ai faites grâce à la marque française Jolivia (compléments alimentaires bio), dont je vous ai déjà parlé dans mon article sur la spiruline.
En Inde cette plante à la capacité de procurer force et vitalité. C’est pourquoi en sanskrit (langue indienne), elle signifie « Fort comme un cheval », en référence, vous l’aurez compris, aux propriétés de cette plante. Elle est par ailleurs réputée pour réduire le stress et l’anxiété. Regardons alors ensemble de quoi il retourne.
L’ashwagandha c’est quoi ?
Bon, vous le savez depuis longtemps, je suis curieuse ! Dès qu’une chose est inconnue à mes yeux, j’ai tendance à m’y intéresser et à vous le partager. Alors l’ashwagandha, c’est quoi ?
Levez la main si vous savez, parce que très clairement, je ne l’ai découvert qu’il y a quelque temps et j’ai dû faire bon nombre de recherches pour pouvoir vous en parler avec plus de précision aujourd’hui.
Alors il s’agit d’une plante très prisée dans la pharmacopée indienne, que l’on connaît aussi sous le nom de withania somnifera, winter cherry, Ashwaganda (sans le h) ou encore Ginseng indien. Cette dernière appellation vous indique très clairement que oui, cette plante trouve ses origines en Inde où ses bienfaits sont utilisés dans la médecine traditionnelle indienne. Pour ceux et celles qui l’ignoreraient, la médecine indienne diffère quelque peu de la nôtre dans la mesure où l’on retrouve la médecine telle que nous la connaissons d’un côté, et de l’autre une médecine qui va s’appuyer sur les fondements et la pratique de l’Ayurveda.
Pour revenir à notre plante, elle appartient à la famille des solanacées et ressemble à un arbrisseau pourvu de feuilles ovales avoisinant les dix centimètres, qui aiment évoluer sur des terres arides. Cette plante est cultivée en Inde sur près de 11 000 hectares. Elle pousse aussi à l’état sauvage au Pakistan ou au Sri Lanka. Au Yémen, dans un dialecte arabe, on l’appelle « la feuille de la guérison » où elle y a servi aussi de dentifrice naturel. D’ailleurs, c’est une plante à tout faire puisqu’elle peut, selon sa forme (poudre, infusion, huile…), incorporer la composition de certains soins cosmétique maison : masque, cataplasme, lotion, crème, etc.
Composition :
Je vous note ici la composition générale sans rentrer, pour autant, dans le détail. Déjà, parce que ce n’est pas mon métier, mais aussi parce que ce serait vraiment très long d’expliquer quel rôle va jouer sur notre corps chacun des termes employés ci-après. L’ashwagandha est donc riche en fer et en glycowhithanolides. Elle contient des flavonoïdes, des acides phénoliques, des alcaloïdes, de la catéchine, des lactones, du kaempférol et des acides gras. On retrouve également la présence de tanins, nitrate de potassium, glucose, phytostérols ainsi que des acétylstérylglucosides.
Les bienfaits de l’ashwagandha :
Vous l’aurez compris, l’ashwagandha constitue un remède pour la médecine traditionnelle indienne, c’est pourquoi, elle suscite l’intérêt un peu partout dans le monde.
Sa richesse en nutriments et en principes actifs, favoriseraient la production d’enzymes antioxydants au cœur même de notre cortex cérébral. Ce qui permettrait de réduire les effets de stress oxydatif de notre cerveau, préservant ainsi nos précieux petits neurones. Ces mêmes enzymes offriraient aussi un rôle préventif face à l’apparition d’éventuelles lésions, toujours dans notre système cérébral.
Cette plante serait alors capable d’améliorer les capacités cognitives des personnes qui la consomment de manière régulière. Vous comprenez mieux pourquoi, je me suis intéressée à cette plante dans le cadre de ma fibromyalgie. Maladie, où les fonctions cognitives sont considérablement amoindries en cas de crise.
Dans la médecine traditionnelle indienne, l’ashwagandha sert à contrer les pertes musculaires et osseuses, mais aussi la dégénérescence des cellules et tissus de l’organisme. Les sportifs pourront d’ailleurs la consommer comme un booster avant un entraînement.
C’est une plante qui réduit le stress sur le corps, souvent à l’origine des troubles d’ordre sexuels. De fait, elle est considérée comme un aphrodisiaque naturel. La qualité des spermatozoïdes serait également améliorée. De même que pour le stress, l’ashwagandha, lutte contre le sentiment d’anxiété. Il y a un effet apaisant. En découle, une amélioration du sommeil.
Elle joue un rôle protecteur pour le cœur, réduit le taux de glucose sanguin et ses propriétés antioxydantes, améliorent l’élimination des radicaux libres dans l’organisme et lutte contre le vieillissement cellulaire.
Enfin, et sans doute ce qui m’enthousiasme le plus, elle présente un effet anti-inflammatoire capable de réduire les douleurs. C’est dire comme j’ai hâte d’être plus loin dans ma cure ! Et de pouvoir vous en reparler.
Effets secondaires ?
C’est une plante considérée comme sécuritaire si on la consomme dans des proportions raisonnables. Si effets secondaires il y a, ceux-ci sont sans danger. Ils seront alors le fait d’une prise inconsidérée et entraîneront principalement des troubles intestinaux : constipation, diarrhée, etc. On aura aussi un effet hypnotique. Ainsi, et même si ça tombe sous le sens, faut-il respecter les doses et ne pas aller au-delà de celles-ci.
À noter qu’une prise le soir est préférable, car la plante peut avoir un petit côté sédatif si les doses sont trop élevées.
Pour qui ?
La prise d’ashwagandha sera, comme bien des choses, déconseillées aux femmes enceintes ou allaitantes. Les personnes sujettes à des troubles intestinaux, d’hémochromatose ou l’hyperthyroïdie, ne devront pas non plus en consommer. De même, on conseillera l’avis d’un médecin pour les personnes suivant un traitement à base d’antidépresseurs.
Comment consommer l’ashwagandha ?
Il est à noter que la plante en elle-même est peu utilisée dans la médecine ayurvédique, puisque les Indiens considèrent que les principes actifs de la plante sont principalement présent dans les racines. Ce sont donc ces dernières qui sont consommées.
Vous pourrez alors les retrouver sous différents aspects. En extraits, en poudre, en racine sèche ou encore en teinture où elles se consommeront alors en gouttes.
Lorsqu’elles se présentent en poudre, pour les infusions, les décoctions ou en gélules, elles pourront alors être avalées ou intégrées des préparations culinaires. Par exemple, des compotes, des jus de fruits, des yaourts, des smoothies, etc. On peut alors en consommer tous les jours sans toutefois dépasser les 5 gr. La racine sèche servira pour les compléments alimentaires sous forme de comprimés. Il faudra alors se reporter aux consignes du produit pour la posologie.
Dans tous les cas, et c’est valable pour tout, veillez toujours à respecter les doses recommandées pour que les bienfaits soient au rendez-vous et tournez-vous vers les conseils d’un professionnel de la santé ou un spécialiste de la médecine par les plantes si vous avez le moindre doute.
J’ai d’ailleurs pu observer qu’il était recommandé de réaliser des « cures » d’un mois avec une pause entre chaque « cures« , d’une semaine sans aucune prises. Et de consommer cette plante principalement le soir comme nous l’avons vu plus haut.
Mes gélules Jolivia :
Et oui, je suis une véritable adepte de complément alimentaire. Et c’est encore vers la jolie marque française Jolivia que je me suis tournée. Marque que j’aime beaucoup et en laquelle j’ai toute confiance.
Ainsi, mes gélules végétales renferment 300 mg de poudre d’ashwagandha issue de l’Agriculture Biologique.
Elles sont fabriquées en France. Le packaging est joli et pratique. Notamment, l’ouverture coulissante qui permet une utilisation fluide. J’avoue beaucoup aimer les emballages Jolivia, fait de carton. Je les trouve plus sains et plus respirant que ceux en plastique. Il me semble, peut-être à tort, que mes gélules sont mieux préservées des rayons du soleil et de l’humidité, et qu’elles ne prennent pas l’odeur du plastique.
Vous pouvez les prendre à raison de 1 à 2 par jour avec un grand verre d’eau. Dans mon cas, j’en consomme 2 par jour. Ainsi, ma cure va me durer 100 jours. J’aime beaucoup le format gélule qui facilite les prises. Elles sont petites et faciles à prendre.
Pour ce qui est de mon ressenti, mes prises sont assez récentes, de fait, je n’ai pas le recul nécessaire pour vous en parler, mais je ne manquerais pas de vous en faire un petit retour. Dans l’immédiat, je peux seulement vous dire que j’ai un regain d’énergie. Habituellement, en cette période de l’année, je me sens toujours épuisée, que ce soit physiquement ou psychologiquement. J’ai en effet l’impression qu’il y a une amélioration sur le stress et que décembre 2020 et moins pénible à « passer » que ceux des années précédentes. Peut-être le contexte de cette année si particulière ? Dans tous les cas, j’ai hâte de continuer et de pouvoir mieux observer les effets de l’ashwagandha sur mon état. Le test ultime pour moi sera janvier où je tombe systématiquement malade.
Conseil :
Si comme moi, vous avez parfois des troubles de la mémoire à cause d’une éventuelle maladie, ou si vous êtes simplement une jolie petite tête de linotte, je vous conseille de mettre une alarme sur votre téléphone pour ne pas oublier de prendre votre ashwagandha.
Ashwagandha bio Jolivia :
Le prix : 22,90 € – pot de 200 gélules de 300 mg – ce qui constitue un excellent rapport qualité prix.
⇒ Lien des gélules vers le site marchant
Je vous invite d’ailleurs à aller jeter un œil, ou deux, sur le site Jolivia, qui propose une très grande palette de produit bio, qu’il s’agisse de compléments alimentaires ou de produit d’épicerie. De même, ils ont un rayon beauté bien sympathique.
Le mot de la fin :
Merci beaucoup à Jolivia pour cette belle découverte. Comme toujours leurs produits naturels, bio, aux packagings bien pensés et recyclables sont à recommander. Et quel plaisir de valoriser une entreprise Française ! J’ai grâce à ce produit pu apprendre beaucoup de choses et j’espère que vous en aurez appris vous aussi en lisant cet article.
En vous disant à très bientôt pour un autre sujet qui vous parlera d’une plante un peu plus connue chez nous et que vous utilisez peut-être déjà en cuisine : le curcuma.
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